Lib'Mag live


LibMag 63

Edito 63

Vous me direz que pondre un édito à la va-vite, comme ça au dernier moment avant bouclage et au coin d’une table, ce n’est pas très sérieux !

Mais, lorsque cette table est en terrasse de l’Orient, qu’elle est  baignée par les premiers rayons du soleil. Que, pour mieux exciter ma maigre créativité, ce futur édito qui devrait noircir mon écran dans peu de temps est accompagné d’une bonne «Aflilefbergen-Ambrée-à-la-pression-ça-va-de-soit», lorsque la situation se présente ainsi, tu comprendras que je n’ai pas envie de parler de crise, d’économie, de  politique et ne disserterai pas, non plus sur l’observation du tissu socio…….

C’te flemme les Aminches et que c’est bon d’ «éditorialiser» en regardant passer les petits oiseaux, les oisifs, les oies sauvages et tout le reste que je vous laisse imaginer. Elle est pas belle la vie ? Déconch’tracté !!!! Les plus anciens du club Dorothée comprendront. Déconchtracté mon Cher Casimir ! Je suis sur l’Ile aux enfants, l’ile au trésor, l’Ile du bonheur!

Et voilà, petit à petit, l’oiseau fait son nid et ce sacré édito prend sa forme, noirci l’écran…Tiens, si je changais la couleur de ma police ! Du bleu, voila, je sélectionne un bleu azur, comme le ciel. Mon édito est tout bleu, maintenant, bleu comme tes yeux, belle dame que je vois passer avec ta jupette fleurie. Attends_moi, mon édito, lui pourra bien patienter quelques instants. Aïe Aïe Aïe !

L’appel de la nature !...Tant pis pour l’édito.


Jean-Luc Peyreblanque